Parcours biographique

23 août 2014

 

Christine  Sourgins  :  « écrire  pour  retrouver  la  peinture  »


Sourgins    Née à Suresnes. Attirée très jeune par la peinture, la littérature avec les récits de Paul Féval, puis par le cinéma après la projection d’Orphée de Cocteau… Livres d’art, toiles et tubes de couleurs engloutissent son argent de poche…

     « Lorsque Christine Sourgins veut entrer aux Beaux Arts au début des années 1980 elle y renonce en constatant que l’enseignement y est purement conceptuel. Sa vocation est contrariée, elle étudiera donc et l’histoire et l’histoire de l’art en Sorbonne ; parallèlement à l‘Ecole du Louvre où la muséologie retient son intérêt. Ses études finies elle devient conférencière (au Louvre et dans les musées de la ville de Paris pour les services pédagogiques ) »*.

     Elle échange donc le pinceau contre la plume et quitte les musées pour devenir attachée culturelle en milieu associatif. Cette fonction, qui ne dépend pas du ministère de la Culture, garantit son indépendance de pensée. De plus, elle observe au quotidien le malaise qui frappe artistes et amateurs d’art. Spécialisée dans l’étude du milieu de l’art dit « contemporain » et du système qu’il a engendré ; elle publie dans de nombreuses revues : « Conflits actuels », « Liberté politique », « Artension », « Catholica », « Képhas », « Commentaire »… ; (elle appartient au comité de rédaction d’une grande revue, Commentaire, et d‘une toute petite, écritique ).

Christine Sourgins donne régulièrement des conférences d’histoire de l’Art au profit de l’association culturelle Cap Aristée.

Patagonie

Christine Sourgins possède la nationalité patagone, affaire à suivre :

 visitez le Musée Imaginaire de Patagonie…

* Extrait du chapitre « Christine Sourgins, écrire pour retrouver la peinture » tiré du livre d’Aude de Kerros, « L’Art caché, les dissidents de l’Art contemporain » éditions Eyrolles, 2007, page 214.